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Annabelle, en école d’ingénieur.e.s du numérique, spécialité intelligence des données

Le 3 mars 2024
Annabelle, ingénieure du numérique en intelligence des données
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Le « Pitche ton parcours » d’Annabelle, élève-ingénieure en spécialité intelligence des données : ses choix d’orientation entre commerce et numérique, la prépa intégrée, la Corée du Sud, les débouchés entre lesquels elle hésite…

Du lycée au métier : un parcours entre commerce et ingénierie

 

Vous hésitez entre commerce et ingénierie, économie et numérique ?

Annabelle aussi s’est posé la question, dès le lycée d'ailleurs, où elle a fini par opter pour un bac scientifique. 

Sa problématique était la suivante : comment associer son envie de travailler dans un milieu scientifique à celle de travailler aussi sur des sujets liés au commerce ?

 

Au moment de sélectionner ses études post-bac, après s’être informée sur les écoles de commerce et les écoles d'ingénieur.e.s (internet, salons, échanges avec des connaissances...) , elle s’est dit qu’il lui serait sans doute plus simple de revenir, le cas échéant, à l’univers du commerce dotée d’un bagage d’ingénieure plutôt que de procéder dans le sens inverse.

Elle s’est donc décidée pour une école d’ingénieure du numérique.

 

En école d’ingénieur.e.s, elle a notamment eu l’occasion de construire plusieurs projets en équipe et en mode startup.

Au sein de son école, Annabelle a choisi de se spécialiser en Intelligence des données ce qui lui permet de renouer avec le commerce.

Il s’agit en effet d’apprendre à collecter et analyser des données pour en tirer des déductions et améliorer l’efficacité de l’activité ou du domaine étudié : à sa sortie de l’école, elle envisage d’appliquer ce savoir-faire au marketing.

 

 

Le cursus d’Annabelle en école d’ingénieur.e.s du numérique post-bac

Le choix de l’école d’ingénieur.e.s du numérique s’impose très vite comme une évidence et la solution pour garder toutes les portes ouvertes.

 

Je me suis tournée vers une école d’ingénieur.e.s du numérique car je trouve que c’est hyper intéressant comme sujet : il y en a partout du numérique. C’est tellement ouvert, en fait, que ça devient presque généraliste : ça ne nous ferme aucune possibilité !

 

 

Le choix de cette prépa intégrée : pour devenir bilingue et pour le côté plus pratique que théorique

La décision de faire une classe préparatoire intégrée dans son école d’ingénieur.e.s (par opposition à une CPGE scientifique) vient également d’un choix mûrement réfléchi. 

 

Les deux principales raisons évoquées par Annabelle : 

  •  la volonté d’explorer le monde rapidement après son bac

De fait, sa prépa lui permettait de partir dès la deuxième année post-bac.

Elle a choisi la Corée du Sud, un pays où l’innovation est reine, une expérience assez bluffante et qui lui a permis d’améliorer significativement son niveau d’anglais.

  • ... et le désir de ne pas attendre pour mettre en pratique ses connaissances

Dans cette formule de prépa intégrée, la théorie (théorèmes, démonstrations...) est présente mais la pratique domine.

Les projets et l’application concrète des cours lui ont permis de découvrir différents aspects du numérique, de l’informatique, de la robotique et de l’électronique pour déterminer ce qui lui plaisait le plus.

Sa matière préférée restait néanmoins les mathématiques !

Découvrez le témoignage complet d’Annabelle, ci-dessous

Une charge de travail compatible avec des activités extrascolaires

Si la charge de travail, en particulier en prépa intégrée, est conséquente, elle reste « abordable ».

Elle a ainsi permis à Annabelle de passer son diplôme de fin d’études en violon quand d’autres camarades poursuivaient par exemple une activité sportive.

Cette combinaison nécessite cependant une bonne organisation.

 

La vie associative : une clé pour le réseau et acquérir d’autres compétences

La vie associative est aussi un atout à ne pas négliger dans les écoles d’ingénieur.e.s.

Annabelle s’y est investie dans plusieurs associations, à différents postes.

Elle y a rencontré beaucoup de monde et en a profité pour acquérir des « softskills » qui jouent un rôle non négligeable au moment du recrutement et dans une carrière en général.

 

 

Après le diplôme : insertion professionnelle, poursuite d’études, VIE ?

Pour l'avenir, une fois le diplôme d'ingénieure obtenu, Annabelle hésite encore entre plusieurs possibilités

 

Son conseil à vous qui réfléchissez à vos études supérieures ?

Ne vous concentrez pas tant sur les matières que ça, les matières c’est pas ce que vous allez faire plus tard. Pensez surtout à cela : est-ce que vous avez des options [pour votre futur métier] qui vous plaisent.
Par exemple, je n'aimais pas trop la physique même si j’avais des notes correctes mais ce n’est pas parce que vous avez des notes moyennes dans une matière que vous ne pouvez pas devenir ingénieure, il faut juste s’accrocher, travailler et ça devrait rouler !

Pour compléter

À lire aussi : notre article sur les parcours associant commerce et numérique

 

 

À noter : cette vidéo a été subventionnée par Atlas, Opco des services financiers et du conseil, selon des axes de coopération définis dans la convention signée avec le Ministère de l'Education Nationale et de la Jeunesse, le Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'innovation.

 

Merci à Annabelle et à l’équipe de l’ISEP pour leur investissement dans la réalisation de ce témoignage !