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Le parcours de Gwenaëlle, des choix d'orientation au diplôme d'ingénieure cybersécurité

Le 4 octobre 2023
Gwenaelle, élève-ingénieure en cybersécurité
Parcours
Orientation
Métiers et emplois
Mixité et Diversité

Du lycée au CDI en passant par l’école d’ingé, Gwenaëlle nous explique les moments clés de son parcours fluide et engagé vers la cybersécurité et partage infos et conseils pratiques. Pitche ton parcours, épisode 2 !

En terminale : des points d’interrogations à la vocation !

 

Comme certains d’entre vous peut-être, Gwenaëlle ne savait pas très bien ce qu’elle ferait après sa terminale.

Deux certitudes : elle suivait des spécialités scientifiques et la date fatidique sur Parcoursup approchait.

C’est en surfant sur internet qu’elle a finalement découvert l’école d’ingénieur.e.s qui la tentait et ce qui allait devenir sa spécialité : la cybersécurité.

Son premier conseil ? Si devenir ingénieur.e ou travailler dans ce domaine vous intéresse, au lycée : faites des maths, ça aide quand même beaucoup après en apportant une certaine approche logique, une capacité d’analyse et à résoudre des problèmes 😉.

Le résumé en vidéo juste ici

 

 

 

En école d’ingé avec prépa intégrée

Parmi les choix qu’elle a dû faire, Gwenaëlle a opté pour une prépa intégrée et non une CPGE (classe préparatoire aux grandes écoles).

La principale différence selon elle ? La présence de cours déjà plus orientés « métiers » : fonctionnement des organisations ou aspects pratiques liés à la programmation dans son cas. Elle a également pu profiter d’un premier stage en entreprise.

Sinon, les cours durant la période de prépa intégrée demeurent tout de même plutôt centrés sur la théorie : en particulier maths, physique et langues étrangères.

En rentrant dans le cycle ingénieur (de Bac+3 à Bac+5), Gwenaëlle a vu ses cours intégrer de plus en plus de pratique et elle a vraiment commencé à étudier sa spécialité, la cybersécurité.

 

Une charge de travail finalement plutôt gérable

En termes d’emploi du temps, on était sur 26 à 30 heures et pour le travail à côté, personnellement c’était une à 2 heures par jour en semaine. De cette manière, je ne me sentais pas submergée de devoirs et je pouvais m'accorder du temps sur le weekend.

 

Des études engagées pour une ingénieure « de coeur »

Membre des Cadettes de la cyber (cf notre rubrique En savoir+), Gwenaëlle, « ingénieure de cœur », s’est engagée pour faire connaître les métiers de la cybersécurité auprès de lycéennes intéressées mais aussi, au sein d’une association étudiante, auprès d’élèves de primaire de sa région (Angers) auxquels elle proposait, avec ses camarades, des ateliers scientifiques.

Une démarche qui rappelle que les missions des ingénieurs les amènent à agir pour et avec la société, le monde qui les entoure 😊.

Le récit complet de Gwenaëlle en vidéo

S’inscrire dans un contexte international, intégrer progressivement le monde professionnel

Les ingénieures et ingénieurs sont également appelés à travailler avec des gens de toutes nationalités. Gwenaëlle qui n’était pas la meilleure de sa classe en langues au lycée (c’est elle qui le dit 😆) a pu profiter durant sa scolarité de deux séjours Erasmus qui lui ont permis de progresser en anglais comme en espagnol.

Un atout certain !

Tout comme les stages en entreprise qui ont jalonné son cursus jusqu’à celui qu’elle a réalisé en fin d’études, en 5e année.

Cette dernière occasion a tout simplement débouché sur… son embauche en CDI en tant que consultante Cybersécurité en gouvernance, risques et conformité !

 

La cybersécurité, un domaine si varié que chacun.e peut y trouver la place qui lui convient 

Gwenaëlle, forte de sa formation d’ingénieure en cybersécurité est confiante dans son avenir.

Métiers du conseil, du développement, de la recherche, de la gestion de projet ou encore responsable d’un système d’information… : les possibilités sont larges.

La cybersécurité lui offre aussi des débouchés très ouverts, tant en termes de degré de technicité du métier qu’elle exercera (qui peut varier, selon ce qui la tente, de très technique à pas du tout), qu'en termes de secteur d’activité où elle pourra travailler : de la santé à l’industrie aérospatiale.

 

Le conseil bonus de Gwenaëlle : ne pas hésiter à sortir de sa zone de confort et s’amuser !

Pour en savoir +

 

  • Sur les Cadettes de la Cyber, le programme que Gwenaëlle a intégré qui lui a permis de bénéficier d’un accompagnement de haut niveau et de conseils de professionnel.le.s mais aussi d’inspirer et de guider d’autres jeunes filles vers ce domaine 

Les Cadettes de la Cyber

 

  • Sur les enjeux de la cybersécurité, les formations labellisées avec l’agence nationale de la sécurité des systèmes d’information

L’ANSSI

 

 

À noter : cette vidéo a été subventionnée par Atlas, Opco des services financiers et du conseil, selon des axes de coopération définis dans la convention signée avec le Ministère de l'Education Nationale et de la Jeunesse, le Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'innovation.

 

Merci à Gwenaëlle et à l'équipe de l'Esaip pour leur investissement dans la réalisation de ce témoignage !